Thierry Vigoureux
23/10/2008 Mise à jour : 22:48 .
Les eurodéputés doivent se prononcer sur la possibilité d'installer des appareils qui permettraient de voir les passagers entièrement nus au filtre de sûreté.
Le portique de sûreté de l'aéroport se perfectionne au point de s'apparenter presque à une cabine qu'on imaginerait plutôt dans un sex-shop. Bruxelles demande aux députés européens de se prononcer sur la généralisation des scanners corporels.
Ces appareils utilisent des ondes millimétriques (UHF) pour traverser les habits et dessiner le corps dévêtu des passagers en 3D. Cette technologie, sans danger, permet ainsi de détecter les armes ou les explosifs dissimulés, que ne signalerait pas le détecteur de métaux classique. En particulier, une lame en composite ou en céramique, des liquides ou du plastic modelé sur le corps, entre les seins d'une poitrine généreuse, par exemple, apparaissent grâce au scanner alors qu'ils ne sont pas visibles avec les équipements actuellement en service. Sur le plan pratique, le scanner corporel possède des atouts. Le passager pénètre dans une cabine, lève les bras, puis ressort. Au total, cela dure trois secondes. Sont évitées ces opérations, souvent humiliantes, de se mettre en chemise et d'enlever sa ceinture, ses chaussures ou ses bottes, sans parler de la fouille corporelle instituée tous les dix passagers.
«Paranoïa des ministres de l'Intérieur»
Avec le scanner corporel, l'opérateur et lui seul, dans un local fermé, voit les formes du corps présent dans la cabine. On imagine, certes, les dérives possibles comme l'appel à la «perspicacité des collègues» dès qu'une «belle plante» passe le contrôle… D'un point de vue moral, les choses sont un peu différentes. «Ces appareils permettent de voir jusqu'aux parties génitales, si une femme a de gros ou de petits seins», s'indigne le social - démocrate bavarois Wolfgang Kreissl-Dörfler qui voit là l'illustration de la «paranoïa des ministres de l'Intérieur» des Vingt-Sept en matière de terrorisme. Les implants mammaires, en particulier, peuvent être identifiés. Toutefois, précise un opérateur, si on le souhaite les réglages permettent de rendre floues certaines zones comme celle de la poitrine et du bas-ventre. La définition maximale de l'image pourrait alors n'être utilisée que s'il y a un doute sur la présence d'un objet insolite.Le commissaire européen aux Transports, l'Italien Antonio Tajani, affirme n'avoir encore pris aucune décision. «Le scanner corporel ne sera jamais rendu obligatoire, c'est une alternative aux fouilles manuelles», a-t-il promis. Chacun sera libre de choisir entre une file rapide - celle des scanners - et une autre plus lente…
Des appareils sont déjà en place à Londres-Luton, Amsterdam-Schiphol et Zurich. Un scanner corporel a été installé à Nice mais n'est pas encore en service. D'autres sont prévus à Roissy-CDG dès que la réglementation sera formalisée. Aux États-Unis, les dix aéroports les plus importants ont été équipés de scanners corporels, ce qui a provoqué là-bas aussi de vives polémiques. N'empêche, le gouvernement américain prévoit l'installation de 30 appareils supplémentaires avant la fin de l'année.
Hug! Ce blog reprend mes énigmes, sondages et questions existantielles de 3 forums.Avec, en plus, 2 - 3 bidules repris par-ci par-là.
vendredi 24 octobre 2008
samedi 18 octobre 2008
Le jour où UBS a frôlé le désastre
RECIT. Le 8 octobre, la crise de la grande banque a atteint un sommet. La BNS a dû trouver une solution. La panique des clients était tangible.
Myret Zaki
Vendredi 17 octobre 2008
Le 8 octobre 2008, c'est le jour où UBS a frôlé la catastrophe. Ce jour-là, plus aucune banque en Suisse n'acceptait de prêter à une autre banque, encore moins au géant de la Bahnhofstrasse. A l'origine de toutes les peurs: la crainte d'une faillite d'UBS, l'acteur européen le plus touché par la crise des «subprime».
Tout établissement, en Suisse, avait potentiellement UBS comme contrepartie. «Le marché du refinancement interbancaire est mort, c'est une catastrophe!» nous avait lancé, très tôt ce matin-là, un spécialiste proche de la Banque nationale suisse (BNS), aux abois. Il devait, en un rien de temps, trouver des solutions pour les entreprises, nombreuses, qui retiraient leurs fonds de trésorerie déposés à UBS. Il avait téléphoné aux principales banques, et avait reçu la même réponse: que ce soit Raiffeisen, PostFinance, ou la Banque cantonale de Zurich, toutes avaient reçu, ce jour-là, la consigne de refuser les dépôts en fuite. Face à la masse inouïe de dépôts transférés, aucune ne pouvait garantir qu'elle pourrait les rémunérer sous forme d'intérêts. «Elles n'arrivent plus, elles aussi, à refinancer leurs dépenses au jour le jour!» disait-il.
Les entreprises clientes d'UBS étaient encore plus fébriles. Comme cette petite entreprise romande: «L'argent de la boîte est chez UBS, et je n'ai plus confiance, il faut le déplacer. Mais où? Personne n'accepte les dépôts!» confiait son chef comptable. Au final, plusieurs entreprises ont dû déposer leurs liquidités directement auprès de la BNS, sur des comptes parfois non rémunérés.
UBS, à court de refinancement, a réellement frôlé le défaut de paiement ce jour-là. La grande banque, dont les besoins trimestriels en fonds de roulement sont évalués à 700 milliards de francs, soit l'équivalent d'un plan Paulson tous les trois mois, n'avait tout simplement plus accès à des fonds à court terme. Tout reposait sur la BNS, seule capable de prendre des dépôts et d'injecter des liquidités à des banques au bord de l'asphyxie. «C'est tout le système du trafic des paiements qui menace d'exploser!» s'écriait, ce jour-là, ce proche de la BNS. «Je n'ai plus qu'à rentrer chez moi.» Les banques auraient même sollicité les banquiers privés, pour savoir s'ils accepteraient de prendre des liquidités du marché monétaire. «Le problème est que les banquiers privés n'ont pas de desk de marché monétaire. Il aurait fallu qu'ils placent ces liquidités en obligations suisses. L'idée n'a jamais abouti, mais c'est dire jusqu'où est allée la réflexion!» raconte une autre source.
Selon un témoignage, UBS était néanmoins prête à verser le maximum d'intérêts sur les dépôts, tant qu'elle le pouvait, pour retenir les entreprises clientes. Comme dans le cas de cette même entreprise romande: «Finalement, avait dit le comptable, nous resterons à l'UBS: ils nous proposent des taux défiant toute concurrence!» Reste que, en ce début d'octobre, c'était le refus même des autres banques de prêter de l'argent à UBS, combiné aux retraits massifs d'avoirs de clients, qui risquait de la précipiter dans la faillite.
Déjà au 30 septembre, UBS avait eu un mal fou à boucler son tour de refinancement trimestriel. Jusqu'à la dernière minute, la BNS n'était pas sûre que la banque y arriverait. D'où les propos rassurants du régulateur, sans lien avec la réalité: «Les banques suisses sont bien capitalisées», avait déclaré la Commission fédérale des banques fin septembre. La CFB espérait restaurer un tant soit peu de liquidité sur le marché interbancaire. En vain. Ce n'est que grâce aux apports de la BNS qu'UBS, sous perfusion, pouvait continuer à financer son fonds de roulement et éviter le défaut. Nous avions alors appris que des employés du département de la stabilité et du risque de la BNS faisaient la navette entre Berne et Zurich depuis septembre, pour s'assurer que la situation était sous contrôle. Mais en ce jour du 8 octobre, une semaine après, UBS se retrouvait à nouveau au bord du gouffre. Clairement, à ce stade, la BNS avait atteint ses limites pour refinancer UBS et l'ensemble du système bancaire. «C'était une situation très délicate et insupportable du point de vue légal pour la BNS, nous confie une source. Elle commençait à engager des fonds sans garantie. Il fallait une solution de refinancement permanente.»
C'est ainsi qu'entre le 8 et le 16 octobre, les autorités ont respecté un silence de plomb. Le risque systémique posé par la grande banque paralysait le marché bancaire suisse, alors qu'une détente était visible dans la zone euro après les interventions européennes.
Le silence était la seule option: l'hémorragie des retraits - qui ont atteint 84 milliards de francs sur le seul troisième trimestre - n'autorisait plus aucun faux pas. «A l'interne de la banque, la consigne était de ne surtout plus rien divulguer dans l'intervalle, avant d'avoir un plan achevé à communiquer», affirme une personne proche de la direction d'UBS.
Des avertissements de nature anxiogène auraient risqué de vider la banque de ses comptes. Déjà, une quantité alarmante d'épargnants, qui ne supportaient pas de voir le fruit d'une vie de labeur balayé, ont retiré leurs deniers.
Jamais autant que ces derniers jours, les conversations n'étaient autant ponctuées par la question: «Dois-je fermer mon compte à UBS?» Des retraités ont pris peur pour leur capital-vieillesse et l'ont déplacé vers les banques cantonales. Certains ont eu le déclic lorsque, soudain, leur gérant ne répondait plus au téléphone. Mais ce n'est pas tout. «Depuis quelques mois, ce n'étaient plus juste les petits clients qui partaient d'UBS, confie un banquier de la place, ce sont les clients les plus fortunés, ces clients sophistiqués qui avaient suivi UBS jusqu'ici, et qui ont fini par privilégier la sécurité». UBS devait, coûte que coûte, sauver sa gestion de fortune privée, le seul métier phare sur lequel elle mise désormais à l'avenir.
A la rédaction du Temps, des témoignages négatifs sur UBS arrivaient tous les jours. Mais comment en rendre compte sans contribuer directement à aggraver la situation? Comment vérifier l'état réel de la banque alors qu'elle se taisait?
Les analystes financiers qui suivent UBS n'ont pas échappé, eux non plus, à cette censure forcée: aucun n'avait la moindre idée des annonces à venir, et les rapports affichaient des estimations souvent absurdes, situant en moyenne à 3 milliards de francs les amortissements d'UBS au troisième trimestre, et excluant toute recapitalisation.
Myret Zaki
Vendredi 17 octobre 2008
Le 8 octobre 2008, c'est le jour où UBS a frôlé la catastrophe. Ce jour-là, plus aucune banque en Suisse n'acceptait de prêter à une autre banque, encore moins au géant de la Bahnhofstrasse. A l'origine de toutes les peurs: la crainte d'une faillite d'UBS, l'acteur européen le plus touché par la crise des «subprime».
Tout établissement, en Suisse, avait potentiellement UBS comme contrepartie. «Le marché du refinancement interbancaire est mort, c'est une catastrophe!» nous avait lancé, très tôt ce matin-là, un spécialiste proche de la Banque nationale suisse (BNS), aux abois. Il devait, en un rien de temps, trouver des solutions pour les entreprises, nombreuses, qui retiraient leurs fonds de trésorerie déposés à UBS. Il avait téléphoné aux principales banques, et avait reçu la même réponse: que ce soit Raiffeisen, PostFinance, ou la Banque cantonale de Zurich, toutes avaient reçu, ce jour-là, la consigne de refuser les dépôts en fuite. Face à la masse inouïe de dépôts transférés, aucune ne pouvait garantir qu'elle pourrait les rémunérer sous forme d'intérêts. «Elles n'arrivent plus, elles aussi, à refinancer leurs dépenses au jour le jour!» disait-il.
Les entreprises clientes d'UBS étaient encore plus fébriles. Comme cette petite entreprise romande: «L'argent de la boîte est chez UBS, et je n'ai plus confiance, il faut le déplacer. Mais où? Personne n'accepte les dépôts!» confiait son chef comptable. Au final, plusieurs entreprises ont dû déposer leurs liquidités directement auprès de la BNS, sur des comptes parfois non rémunérés.
UBS, à court de refinancement, a réellement frôlé le défaut de paiement ce jour-là. La grande banque, dont les besoins trimestriels en fonds de roulement sont évalués à 700 milliards de francs, soit l'équivalent d'un plan Paulson tous les trois mois, n'avait tout simplement plus accès à des fonds à court terme. Tout reposait sur la BNS, seule capable de prendre des dépôts et d'injecter des liquidités à des banques au bord de l'asphyxie. «C'est tout le système du trafic des paiements qui menace d'exploser!» s'écriait, ce jour-là, ce proche de la BNS. «Je n'ai plus qu'à rentrer chez moi.» Les banques auraient même sollicité les banquiers privés, pour savoir s'ils accepteraient de prendre des liquidités du marché monétaire. «Le problème est que les banquiers privés n'ont pas de desk de marché monétaire. Il aurait fallu qu'ils placent ces liquidités en obligations suisses. L'idée n'a jamais abouti, mais c'est dire jusqu'où est allée la réflexion!» raconte une autre source.
Selon un témoignage, UBS était néanmoins prête à verser le maximum d'intérêts sur les dépôts, tant qu'elle le pouvait, pour retenir les entreprises clientes. Comme dans le cas de cette même entreprise romande: «Finalement, avait dit le comptable, nous resterons à l'UBS: ils nous proposent des taux défiant toute concurrence!» Reste que, en ce début d'octobre, c'était le refus même des autres banques de prêter de l'argent à UBS, combiné aux retraits massifs d'avoirs de clients, qui risquait de la précipiter dans la faillite.
Déjà au 30 septembre, UBS avait eu un mal fou à boucler son tour de refinancement trimestriel. Jusqu'à la dernière minute, la BNS n'était pas sûre que la banque y arriverait. D'où les propos rassurants du régulateur, sans lien avec la réalité: «Les banques suisses sont bien capitalisées», avait déclaré la Commission fédérale des banques fin septembre. La CFB espérait restaurer un tant soit peu de liquidité sur le marché interbancaire. En vain. Ce n'est que grâce aux apports de la BNS qu'UBS, sous perfusion, pouvait continuer à financer son fonds de roulement et éviter le défaut. Nous avions alors appris que des employés du département de la stabilité et du risque de la BNS faisaient la navette entre Berne et Zurich depuis septembre, pour s'assurer que la situation était sous contrôle. Mais en ce jour du 8 octobre, une semaine après, UBS se retrouvait à nouveau au bord du gouffre. Clairement, à ce stade, la BNS avait atteint ses limites pour refinancer UBS et l'ensemble du système bancaire. «C'était une situation très délicate et insupportable du point de vue légal pour la BNS, nous confie une source. Elle commençait à engager des fonds sans garantie. Il fallait une solution de refinancement permanente.»
C'est ainsi qu'entre le 8 et le 16 octobre, les autorités ont respecté un silence de plomb. Le risque systémique posé par la grande banque paralysait le marché bancaire suisse, alors qu'une détente était visible dans la zone euro après les interventions européennes.
Le silence était la seule option: l'hémorragie des retraits - qui ont atteint 84 milliards de francs sur le seul troisième trimestre - n'autorisait plus aucun faux pas. «A l'interne de la banque, la consigne était de ne surtout plus rien divulguer dans l'intervalle, avant d'avoir un plan achevé à communiquer», affirme une personne proche de la direction d'UBS.
Des avertissements de nature anxiogène auraient risqué de vider la banque de ses comptes. Déjà, une quantité alarmante d'épargnants, qui ne supportaient pas de voir le fruit d'une vie de labeur balayé, ont retiré leurs deniers.
Jamais autant que ces derniers jours, les conversations n'étaient autant ponctuées par la question: «Dois-je fermer mon compte à UBS?» Des retraités ont pris peur pour leur capital-vieillesse et l'ont déplacé vers les banques cantonales. Certains ont eu le déclic lorsque, soudain, leur gérant ne répondait plus au téléphone. Mais ce n'est pas tout. «Depuis quelques mois, ce n'étaient plus juste les petits clients qui partaient d'UBS, confie un banquier de la place, ce sont les clients les plus fortunés, ces clients sophistiqués qui avaient suivi UBS jusqu'ici, et qui ont fini par privilégier la sécurité». UBS devait, coûte que coûte, sauver sa gestion de fortune privée, le seul métier phare sur lequel elle mise désormais à l'avenir.
A la rédaction du Temps, des témoignages négatifs sur UBS arrivaient tous les jours. Mais comment en rendre compte sans contribuer directement à aggraver la situation? Comment vérifier l'état réel de la banque alors qu'elle se taisait?
Les analystes financiers qui suivent UBS n'ont pas échappé, eux non plus, à cette censure forcée: aucun n'avait la moindre idée des annonces à venir, et les rapports affichaient des estimations souvent absurdes, situant en moyenne à 3 milliards de francs les amortissements d'UBS au troisième trimestre, et excluant toute recapitalisation.
dimanche 5 octobre 2008
Cablecom: ERP-Probleme und ihre Folgen
Cablecom will die anhaltenden Schwierigkeiten bei der Einführung einer neuen, komplexen ERP-Suite bis Ende Oktober in den Griff bekommen. Welch desaströse Folgen eine mit Problemen verbundene Einführung von grossen betriebswirtschaftlichen Lösungen haben können, zeigt sich aktuell bei Cablecom. Der Zürcher Kabel-TV-Anbieter steht - nicht nur, aber auch - wegen Problemen mit den neuen, zentralen Systemen im Kreuzfeuer der Kritik. 'Blick am Abend' titelte gestern "Kein Anschluss unter Cablecom" und berichtete von Cablecom-Kunden, die keine oder falsche Rechnungen erhalten haben und die nun ohne Telefon- und Internet-Anschluss auskommen müssen. Die 'SonntagsZeitung' ihrerseits lastete die Probleme mit der Einführung der Software dem Cablecom-Chef an: "Rudolf Fischer verliert den Anschluss". Troubles mit 'UPC Derby suite'
Dabei war die Einführung einer neuen, kompakten Business-Software bei Cablcom offenbar ein absolut dringendes Anliegen. Vielleicht zu dringend? Wie uns Cablecom-Sprecher Hans-Peter Nehmer schreibt, waren zuvor unterschiedliche Systeme für die diversen Dienstleistungsbereiche (TV, Internet, Telefonie) im Einsatz. Dies habe die Lancierung neuer, interaktiver Digitaldienste wie Video-on-Demand und Catch-up-TV erschwert, verteuert wenn nicht gar ganz verhindert. Deshalb hat man beschlossen, eine ERP-Suite aus dem Mutterhaus namens 'UPC Derby suite', die "seit langem" in einigen europäischen Ländern in Betrieb ist, einzuführen. Kernkomponenten sind die Verrechnungslösung Kenan FX des US-Herstellers Comverse sowie die CRM-Lösung Prodigy. Cablecom gibt keine genauen Auskünfte über die Kosten des Grossprojekts. Sie sollen sich "im hohen zweistelligen Millionenbereich" bewegen. Betroffene Kunden sollen nichts tun
Da offenbar Fehler bei der Datenübernahme aus den alten Systemen in die neue Suite gemacht wurden, wurden nun falsche oder gar keine Rechnungen verschickt. Nehmer beziffert die Zahl der betroffenen Kunden, die Cablecom bekannt sind, mit "mehrere Hundert". Diese Probleme führten natürlich dazu, dass der Kundendienst von Cablecom hoffnungslos überlastet wurde - was für noch mehr böses Blut sorgte. Man habe nun kurzfristig 60 zusätzliche Mitarbeitende im Kundendienst eingestellt, um die offenen Fälle möglichst rasch zu lösen. Betroffene Kunden müssen gemäss Nehmer gar nichts unternehmen. Die Fehler sollten mit der nächsten Rechnung korrigiert werden. Bis Ende Oktober sollen alle Systeme "reibungslos laufen", hofft man an der Zürcher Zollstrasse.
(Christoph Hugenschmidt)
Dabei war die Einführung einer neuen, kompakten Business-Software bei Cablcom offenbar ein absolut dringendes Anliegen. Vielleicht zu dringend?
Da offenbar Fehler bei der Datenübernahme aus den alten Systemen in die neue Suite gemacht wurden, wurden nun falsche oder gar keine Rechnungen verschickt. Nehmer beziffert die Zahl der betroffenen Kunden, die Cablecom bekannt sind, mit "mehrere Hundert".
(Christoph Hugenschmidt)
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